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Cannes hier : Jerry Lewis revient

Michel Legrand, Jerry Lewis et Kevin Pollak le 23 mai 2013, à Cannes. [ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP]

Son sourire et sa bonne humeur communicative ont illuminé hier le 66e Festival de Cannes. A 87 ans, l’Américain Jerry Lewis est venu défendre Max Rose de Daniel Noah, dans lequel il signe son grand retour en tant qu’acteur.

Dans ce film présenté hors compétition, dans le cadre des Séances spéciales, la star, qui s’est imposée dans La valse des pantins de Martin Scorsese en 1983, incarne un pianiste de jazz qui vient de perdre sa femme et se rémémore les moments passés de son existence.

Peu à peu, il se rend compte que son mariage ne fut qu’un pur mensonge. Un rôle dramatique et touchant bien loin de ses performances humoristiques, que les journalistes n’ont cependant pas pu apprécier en raison de l’annulation, sans explication, de la projection.

 

Derrière la caméra

Outre ses talents d’interprète, Jerry Lewis, complice de Dean Martin, est aussi doué pour la réalisation. En témoigne une carrière riche, faite de films inoubliables comme Docteur Jerry et Mister Love (1963).

La Croisette a également choisi de programmer ce soir la version restaurée de son long-métrage Le tombeur de ces dames (1961) au sein de la section Cannes Classics. Un hommage appuyé à l’un des monstres sacrés du septième art.

Max Rose, de Daniel Noah. En salles prochainement.

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