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Michel Fourniret : le fils du tueur en série placé en garde à vue pour tentative de viol

Le fils du tueur en série Michel Fourniret de sa complice Monique Olivier, Selim Fourniret, vit depuis des années sous une autre identité Le fils du tueur en série Michel Fourniret de sa complice Monique Olivier, Selim Fourniret, vit depuis des années sous une autre identité [FRANCOIS NASCIMBENI / AFP]

Selim Fourniret, le fils du tueur en série Michel Fourniret et de Monique Olivier, a été placé en garde à vue ce dimanche 2 juillet à Nice, dans les Alpes-Maritimes, pour une tentative de viol.

Vivant depuis des années sous une autre identité, Selim Fourniret, le fils de Michel Fourniret et Monique Olivier, a été placé en garde à vue à Nice ce dimanche 2 juillet pour «tentative de viol», selon les informations du Parisien. Aujourd’hui âgé de 35 ans, Selim Fourniret aurait agressé une adolescente de 16 ans dans un ascenseur et tenté de la violer, avant de prendre la fuite. Il a finalement été interpellé. 

Selon les informations du quotidien, le domicile du suspect aurait également été perquisitionné. 

Fils du couple de criminels, Selim Fourniret a découvert les horreurs commises par ses parents à l’âge de 15 ans, lorsque Michel Fourniret puis Monique Olivier avaient été arrêtés. Il avait alors été confié à son oncle puis à son demi-frère. Le fils de «l’Ogre des Ardennes» vit depuis des années sous une autre identité pour ne pas être reconnu. 

Il s’est toutefois exprimé plusieurs fois dans les médias, mais toujours couvert d’une cagoule et de lunettes de soleil. En 2021, il s’était notamment exprimé sur le plateau de Touche pas à mon poste (C8) et s’était opposé à la diffusion d’un téléfilm sur ses parents, «La Traque». 

Michel Fourniret, qui avait été condamné à la perpétuité incompressible pour les meurtres de sept jeunes filles entre 1987 et 2001, est décédé il y a deux ans. Monique Olivier va quant à elle être renvoyée aux Assises pour la complicité de l’enlèvement d’Estelle Mouzin, disparue en 2003, mais également de Marie-Angèle Domèce en 1988 et de Joanna Parrish en 1990. 

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