Facile vainqueur du Dinamo Zagreb pour leur entrée dans la compétition, Lyon se déplace, mardi soir, à Séville, son concurrent pour la 2e place du groupe H, sans grandes certitudes
Car avec l’OL, depuis le début de la saison, c’est un peu les montagnes russes. Au moment de se déplacer, ce soir, sur la pelouse du club andalou Séville pour la deuxième journée de la Ligue des champions, le club rhodanien alterne le bon, comme sa victoire inaugurale dans la compétition contre le Dinamo Zagreb (3-0), et le beaucoup moins bon, à l’image de son revers en championnat, samedi dernier, à Lorient (1-0).
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Une défaite, déjà la troisième en sept matchs de L1, qui n’a pas été du goût de Jean-Michel Aulas. «C’est beaucoup trop pour une équipe du standing de Lyon», a regretté le président de l’OL. C’est dire la pression qui pèsera au coup d’envoi sur les épaules des coéquipiers de Jordan Ferri, toujours privés d’Alexandre Lacazette. Une absence remarquée au Moustoir, où les Lyonnais ont fait preuve d’un cruel manque de réalisme dans le dernier geste. «On doit faire avec et on doit trouver des solutions collectives, a confié lundi le capitaine Maxime Gonalons. Il faut être plus tueur devant. Si on est capables de le faire, on aura des résultats.»
Max Gonalons : "Il faut être plus tueur devant. Si on est capables de le faire, on aura des résultats." #SEVOL pic.twitter.com/HasxX1E8ah
— Olympique Lyonnais (@OL) 26 septembre 2016
Lui et les Lyonnais vont devoir faire vite pour remédier à ce problème d’efficacité. Il en va presque de l’avenir de l’OL dans la compétition, le club andalou étant son adversaire direct dans la course à la deuxième place qualificative pour les 8es de finale derrière la Juventus Turin, grande favorite du groupe H. «Une victoire serait une grosse option pour la qualification, a confié Gonalons. Ça nous mettrait dans de bonnes dispositions et en confiance.»
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