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Une mère infanticide trahie par son ADN 10 ans après

La balance, symbole de la justice (illustration) La balance, symbole de la justice (illustration) [Jacques Demarthon / AFP/Archives]

Une femme qui en 2002 avait tué puis caché son nouveau-né dans un conduit de cheminée d’un appartement d’Elbeuf (Seine-Maritime), a été trahie par son ADN. Le cadavre du nourrisson avait été découvert en 2006 lors de travaux. 

 

Enveloppé dans un sac poubelle et dissimulé dans un conduit de cheminée. C'est ainsi que le cadavre d’un nouveau-né avait été retrouvé en 2006 dans un appartement en travaux d’Elbeuf près de Rouen.

Alertés, les enquêteurs avaient alors remonté la piste de toutes les personnes ayant résidé à cette adresse. En 2011, l'ADN d'une trentenaire avait ainsi été prélevé car elle avait occupé l'appartement jusqu'en 2002.

Dès 2012, les enquêteurs avaient établi que l’ADN de cette femme correspondait à celui du nouveau-né.  Ils ont tenté de l'interpeller le 23 septembre dernier mais celle-ci s’était enfuie.

Finalement, elle a décidé de se rendre vendredi à la justice, selon une information du quotidien Paris Normandie qui a révélé l'affaire.

Le quotidien normand a par ailleurs précisé que,lors de son audition, la mère a assuré ne pas se souvenir des circonstances de la mort de son enfant.

 

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