La banlieue est désormais bien lancée dans la course aux JO. Le département de Seine-Saint-Denis doit présenter ce mercredi une batterie de mesures qui appuieront la candidature de Paris pour organiser les Jeux de 2024.
Une enveloppe de 200 millions d’euros doit permettre de réaliser vingt-quatre projets. L’objectif est de rattraper le retard en matière de pratique et d’équipements sportifs, mais aussi de susciter la ferveur populaire. Le «93» prévoit notamment un plan piscine (un jeune du département sur deux seulement sait nager à son entrée au collège), la création d’un établissement dédié au vélo, près du canal de l’Ourq ou encore une voie réservée aux mobilités douces.
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Un meeting international paralympique est aussi à l’étude. Si Paris venait à être retenu pour les JO, la Seine-Saint-Denis accueillerait l’épreuve reine, l’athlétisme (Stade de France), la natation (Saint-Denis) ou encore le volley-ball (Le Bourget).
