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«À vomir», «indécent», «scandaleux»… : Emmanuelle Seigner provoque un tollé en défendant Roman Polanski, son mari accusé de viols

Les arguments avancés par la comédienne font grincer les dents.[Alberto PIZZOLI / AFP]

Invitée de l'émission «Sept à Huit» ce dimanche, l’actrice Emmanuelle Seigner a pris la parole pour défendre son mari, le cinéaste Roman Polanski, accusé de viols et agressions sexuelles par plusieurs femmes depuis la fin des années 1970. Des justifications «écœurantes» pour les téléspectateurs.

Scandale et indécence. L’actrice Emmanuelle Seigner s’est ce dimanche soir exprimée sur les accusations de viols qui pèsent sur son époux, le réalisateur Roman Polanski, suscitant un malaise profond chez les téléspectateurs qui ont ensuite été nombreux à manifester leur courroux sur les réseaux sociaux.

L’actrice a commenté les multiples accusations de viols qui pèsent sur son époux, dont celle qui concerne Samantha Gailey, une adolescente de 13 ans à l'époque, en 1977.

La journaliste Audrey Crespo-Mara a interpelé ainsi l’actrice : «Samantha Gailey dira qu'il n'y a eu aucune violence le jour des fameuses séances photo dans une maison, à Hollywood, mais qu'elle ne savait pas comment dire ‘non’. Il faut dire qu'elle avait treize ans. C'est très jeune.» Ce à quoi l'actrice a répondu : «Oui c'est jeune, bien sûr. C'est jeune mais c'était une époque très permissive et le rapport à l'âge a changé. On louait la lolita.»

Interrogée sur d'autres accusations concernant Roman Polanski, Emmanuelle Seigner a ensuite déclaré : «Moi, quand j'ai connu mon mari, toutes les femmes voulaient coucher avec lui. (...) C'était un truc de dingue. C'était fou. Il avait 52 ans mais il avait l'air d'en avoir 30, il était un grand metteur en scène donc il attirait énormément et je pense qu'il n'avait besoin de violer personne».

Des déclarations qui ont suscité le malaise chez les téléspectateurs, «écœurés», par ces propos «indécents», «honteux» ou encore «irrespectueux pour les victimes». Ils étaient très nombreux à faire part de leur incompréhension - dans le meilleur des cas - sur Twitter : 

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