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Andorre : une flatulence à l’origine d’une bagarre générale dans un spa

Les services de sécurité du spa n’ont pas eu d’autres choix que d’avertir la police qui s'est immédiatement rendue sur place. [Photo d'illustration / MYCHELE DANIAU / AFP][MYCHELE DANIAU / AFP]

Dans la soirée du lundi 11 octobre, une bagarre générale a éclaté au centre thermoludique de Caldea situé dans la principauté d’Andorre. La cause de ce désordre : une simple flatulence, ou plus communément appelé, un pet.

Comme le rapporte le média andorran, Altaveu, il était environ minuit lorsque la scène commence. Alors que plusieurs clients du centre thermal se trouvaient dans les vestiaires et s’apprêtaient à quitter les lieux, pour une raison inconnue, l’un d’eux s’est approché d’un autre, et a alors laissé échapper un petit «vent» venu du fin fond de ses intestins.

Mais la personne à côté de lui, n’a clairement pas apprécié ce désagrément. Les deux individus ont alors commencé à s'expliquer. Cependant le ton est monté, et les insultes ont fini par fuser dans tous les sens, avant qu’ils en arrivent aux mains.

Entourés par les membres de leurs familles respectives, ces derniers n’ont pas hésité à prendre part au débat en prenant chacun la défense de son proche respectif. Et plutôt que de tenter d’apaiser la situation, les proches ont aussi commencé à s’envoyer des coups.

La police s'est rendue sur place

Face à l’ampleur de ce chahut mêlant pas moins de douze personnes au total, les services de sécurité du spa n’ont pas eu d’autres choix que d’avertir la police, qui s’est immédiatement rendue sur place. 

Et malgré l’arrivée de quatre patrouilles, l’une d’entre elles s’est aussi retrouvée prise à partie par une femme qui comptait parmi les acteurs de la bagarre. Toutefois, elle a été très vite maîtrisée, tout comme les deux protagonistes à l’origine de cette dispute.

Arrêtés dans un premier temps pour manque de respect envers un agent de police et atteinte à l’intégrité physique, les trois personnes s’en sont finalement sorties avec une simple condamnation symbolique, puis ont été relâchées mardi soir.

Blessé au visage, l’auteur de toute cette histoire n’aura certainement plus envie de recommencer. 

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