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Ghost Recon Wildlands : en guerre contre les cartels

Connue pour ses paysages paradisiaques, la Bolivie est devenue un pays à haut risque où les trafiquants de drogue ont pris les rênes de l’Etat.

C’est sur ce scénario fictif que commence le dixième jeu de la saga «Ghost Recon», basé sur les techno-thrillers du célèbre romancier Tom Clancy («Octobre rouge», «Jeux de guerre»…). Sous-titré Wildlands, ce nouvel opus signé Ubisoft est disponible sur consoles et PC. Un an après «The Division», qui avait ravi les fans de jeu en coopération, l’éditeur remet le couvert avec un titre qui lui emprunte beaucoup.

A la suite du meurtre d’un agent de la CIA par un cartel tout-puissant, les Etats-Unis décident d’envoyer leur unité d’élite, les Ghosts, remettre un peu d’ordre dans le pays et évincer du pouvoir le redoutable El Sueno. Le joueur est donc invité à diriger des barbouzes chargés de liquider une série de cibles. Afin de compléter leur tableau de chasse, il leur faudra arpenter un monde ouvert au réalisme saisissant.

De la jungle humide aux sommets de la cordillère des Andes, en passant par la «banquise de sel», c’est une véritable carte postale animée qui a été recréée avec un souci du détail qui force le respect. C’est d’ailleurs sur PC, avec une puissante carte graphique de type Nvidia GTX 1080, que le jeu livre toute sa beauté, avec des effets de lumière encore inégalés dans un jeu vidéo. Côté gameplay, la liberté est totale, avec un arsenal et des véhicules permettant d’aborder les missions selon ses envies, à la manière d’un «Far Cry». Répétitif en mode solo, le titre livre tout son intérêt dès lors qu’il est abordé à plusieurs. Il suffit alors de former une équipe de joueurs motivés, pour élaborer des tactiques audacieuses et payantes.

Tom Clancy’s Ghost Recon Wildlands, Ubisoft, sur PS4, Xbox One et PC.

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