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Bruxelles : une orgie aurait eu lieu dans un commissariat pendant l'état d'alerte terroriste

Tandis que le pays était au plus haut niveau d'alerte terroriste, une orgie aurait eu lieu dans un commissariat belge entre des policières et des militaires.[NICOLAS MAETERLINCK / BELGA / AFP]

Pendant que la capitale belge était en état d'alerte maximal suite aux attentats de Paris, une orgie aurait eu lieu entre des policières et des militaires dans un commissariat 

Lorsque le niveau d'alerte terroriste maximal a été déclenché à Bruxelles, le commissariat de Ganshoren aurait accueilli une vingtaine de militaires dans un étage aménagé en dortoir, pour leur éviter les déplacements vers leur caserne à la fin de leur service, rapporte le quotidien belge La Dernière Heure.

Pendant deux semaines, les militaires rentraient donc tous les jours à 22h au commissariat, situé au nord-ouest de la ville, pour y passer la nuit. Deux policières en auraient profité, un soir, pour avoir des rapports sexuels avec huit d'entre eux, toujours selon des sources citées par le journal belge. 

Une enquête ouverte

Un acte qui assouvirait des désirs anticipés avant même l'arrivée des Chasseurs Ardennais, puisque plusieurs policiers de la division de Ganshoren auraient affirmé que leurs collègues féminines étaient déjà "toutes chaudes et toutes folles" à l'idée d'accueillir ces hommes en uniformes. Ce serait un officier de police judiciaire qui aurait découvert la scène et qui l'aurait rapportée. 

Depuis la révélation de l'histoire, une enquête interne aurait été ouverte au sein de la police Ouest, à laquelle est rattachée Ganshoren. "Les militaires ont effectivement dormi dans ce commissariat pendant deux semaines. Un étage a été aménagé pour les accueillir. Lors de leur départ, ils ont organisé une petite fête pour remercier les policiers de la zone. Nous avons ouvert une enquête pour savoir ce qui s'est passé exactement", a déclaré le porte-parole Johan Beerckmans, interrogé par La Dernière Heure. Chez les militaires, on cherche aussi à "en savoir plus sur ce qui s'est réellement passé", selon un porte-parole de la Défense.

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