Son mari s’est plaint de vivre dans des conditions d’hygiène déplorables. La femme risque de deux à six ans de prison.
Le mari, qui a porté l’affaire en justice, estime que sa gestion du domicile s’apparentait à de «mauvais traitements à l’encontre de la famille». Il a également expliqué que sa femme cuisinait rarement. Cette soi-disant négligence a commencé il y a deux ans.
Le procès de la femme, âgée de 40 ans et qui vit à Sonnino dans la région du Latium, devrait débuter en octobre.
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En mars 2014, des militants italiens avaient plaidé pour que les femmes effectuant les tâches domestiques soient rémunérées par leurs maris dans un souci d'égalité. Cette mesure n'avait pas été adoptée.
Une histoire comparable à celle-ci avait eu lieu le 27 décembre 2013, en Inde. Une femme avait accepté de regagner le domicile conjugal après que son mari lui a promis, devant le tribunal, de construire des WC à leur domicile. Elle avait auparavant quitté son mari car elle ne supportait plus de devoir faire ses besoins dans la rue.
Ce n'est pas la première fois que des époux cherchent à régler leurs différends conjugaux en saisissant la justice. Le 27 décembre 2013, une Indienne a décidé de revenir auprès de son mari après que celui-ci lui eut promis, au tribunal, de construire des WC à leur domicile. La femme, lasse de faire ses besoins dans la rue, avait décidé de quitter son mari.