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Emilia Clarke dénonce la pression imposée aux actrices pour avoir recours à la chirurgie esthétique

La Britannique ne souhaite pas avoir recours aux injections pour le moment. La Britannique ne souhaite pas avoir recours aux injections pour le moment. [Roy Rochlin / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP]

Une pression qui ne devrait faire qu'augmenter. Dans une interview donnée au média Elle, Emilia Clarke (Game of Thrones, Star Wars...) s'est plainte de l'utilisation abusive de la chirurgie artistique pour les actrices.

Et il n'aura pas fallu attendre longtemps pour que la Britannique ressente ce poids dans sa carrière. Alors qu'elle n'avait que 28 ans, elle explique qu'une esthéticienne visagiste lui avait conseillé de faire des «fillers». Cette pratique consiste à faire des injections pour combler les rides du visage. Emilia Clarke assure que son interlocutrice lui a promis qu'elle «retrouverait son visage». Une conversation qui a visiblement marqué la star. 

Pour autant, celle-ci assure qu'elle n'a pas pris de décision définitive quant à l'utilisation future de botox. «Je n'en ai jamais fait parce que je suis terrifiée, et je ne le veux pas du tout maintenant, mais je ne dis pas que je n'en voudrais pas plus tard», explique-t-elle. Cependant, elle s'inquiète de la popularité de ces chirurgies : «je n'aime pas le fait que soudainement, il est normal que tout le monde en face». 

Il faut dire que si beaucoup d'actrices n'ont pas hésité à avoir recours aux injections, Emilia Clarke se pose la question des conséquences pour sa carrière, alors qu'elle n'a que 34 ans. «Je travaille dans un milieu où je dois bouger mon visage et être expressive», analyse-t-elle. Dans ce contexte, elle explique que les fillers rendent les visages «brillants et étranges». Celle qui interprétait Khaleesi dans Game of Thrones déclare donc dans l'interview qu'elle n'acceptera jamais une chirurgie trop importante. «Si mon travail me dit que je dois faire quoi que ce soit de plus qu'un petit peu de botox quand j'aurais 45 ans ou plus, alors j'arrêterais de faire ce job», promet-elle. 

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