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Ligue des champions : une formalité pour le PSG à Anderlecht ?

Neymar et les Parisiens occupent la tête de leur groupe avant de se déplacer à Anderlecht. Neymar et les Parisiens occupent la tête de leur groupe avant de se déplacer à Anderlecht.[Dave Winter/Icon Sport]

Le stade Constant Vanden Stock en frémit encore. L’antre d’Anderlecht n’a pas oublié le dernier passage du PSG, qui avait réalisé, en octobre 2013, une véritable démonstration à Bruxelles (0-5) avec un Zlatan Ibrahimovic auteur d’un quadruplé et ovationné par le public belge.

Quatre ans plus tard pratiquement jour pour jour, le club de la capitale retrouve, ce soir, pour la 3e journée de la Ligue des champions, les Mauves toujours marqués au fer rouge par ce revers et inquiets à l’idée de subir une nouvelle débâcle. Car si l’attaquant suédois est parti, les Parisiens possèdent une armada encore plus impressionnante avec notamment les importants investissements consentis cet été, avec les arrivées de Neymar et Kylian Mbappé, pour reconquérir le titre de champion de France et surtout s’affirmer sur la scène européenne.

«Tout le monde est convaincu que Paris peut gagner la Ligue des champions. C’est d’ailleurs l'objectif du club, a confié l’entraîneur belge Hein Vanhaezebrouck. Ce PSG est meilleur que celui qui est était venu jouer en 2013. La logique voudrait donc qu’on soit battu encore plus largement.» Surtout que, même s’ils n’ont pas toujours été convaincants, notamment à l’extérieur, Neymar et ses coéquipiers sont impitoyables depuis le début de saison aussi bien en championnat, avec neuf victoires et un nul en dix journées, qu’en Coupe d’Europe, où ils ont étrillé le Celtic Glasgow (0-5) et le Bayern Munich (3-0), alors qu’Anderlecht connait une période compliquée.

Les Belges ont enregistré deux défaites dans la compétition et comptent déjà neuf points de retard sur Bruges en tête du championnat de Belgique. Mais les Parisiens préfèrent se montrer méfiants à l’image de Thiago Motta. «Il faut se méfier de toutes les équipes», a confié le milieu de terrain parisien. Néanmoins, l’occasion est belle d’envoyer un nouveau message à l’Europe, mais aussi à Marseille à seulement quatre jours du Classique.

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