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Fed Cup : Caroline Garcia envoie les Bleues en demi-finales

Caroline Garcia s'est une nouvelle fois montrée irréprochable avec l'équipe de France. Caroline Garcia s'est une nouvelle fois montrée irréprochable avec l'équipe de France.[Alexandre Dimou / Icon Sport]

Si le scénario est différent, la saveur est la même. Les Bleues, qui avaient réalisé un mémorable retournement de situation l’année dernière à Gênes, sont une nouvelle fois venues à bout, ce dimanche, de l’Italie (3-1) pour s’immiscer dans le dernier carré de la Fed Cup.

Pourtant, comme sur la terre battue génoise, le week-end avait mal commencé avec le revers de Kristina Mladenovic. La Française était idéalement entrée dans sa partie avant de subitement s’écrouler dans sa première rencontre face à Camila Giorgi (6-1, 6-4, 6-1). Mais Caroline Garcia avait remis les deux équipes à égalité grâce à son succès sur Sara Errani (6-3, 7-5). «La route est encore très longue, avait confié la capitaine de l’équipe de France à l’issue des deux rencontres. On va déjà se concentrer sur le match de Kristina, sur cette adversaire qui lui avait bien réussi l’année dernière.»

Et «Kiki» n’a cette fois par craqué. Accrochée dans le premier set, elle a su se libérer dans la seconde manche pour se défaire d’Errani (7-6, 6-1) et donner l’avantage à la France avant que Garcia ne valide la qualification des Bleues. Comme d’habitude en Fed Cup, elle s’est montrée irréprochable dans une compétition, où elle a pris pour habitude de briller. «Je suis rentrée plus décontractée en sachant que Kristina avait gagné son simple, a-t-elle commenté. J’ai été assez solide, j’ai bien servi et je me suis battue sur chaque point. C’est une joueuse difficile, la balle va vite.»

Caroline Garcia et ses partenaires auront désormais rendez-vous en France mi-avril avec les Pays-Bas, une équipe dépourvue de joueuse dans le top 100 mondial. Un défi à la portée de ces Bleues, même si elles devront se méfier des tombeuses de la Russie à Moscou (1-3), pourtant finaliste l’année dernière. «Il n'y a pas d'adversaire facile, mais c’est une belle occasion pour nous», a reconnu Mauresmo. A ses joueuses de la saisir pour vivre une première finale.

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