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Attentat de Christchurch : les réseaux sociaux épinglés

Une semaine jour pour jour après l'attaque terroriste dans deux mosquées de Christchurch en Nouvelle Zélande, qui a fait 50 morts, des questions se posent sur la diffusion de contenus violents sur les réseaux sociaux.

Il aura fallu 29 minutes avant que la vidéo de la tuerie du terroriste d'extrême droite, Brenton Tarrant, ne soit signalée par un internaute. Un laps de temps pendant lequel le terroriste a diffusé son attaque en direct via Facebook Live.

Durant ces longues minutes, la vidéo sera visionnée près de 4.000 fois. Vivement critiqué, Facebook se défend et annonce avoir empêché la diffusion de plus de 1,2 million de vidéos de l'attaque en 24h. Selon des experts, c'est d'abord le facteur humain qui a rendu difficile la suppression de la vidéo.

Aujourd’hui, pour mieux lutter contre la propagation de contenus violents sur Internet, les plateformes tente de s'organiser. Les géants du web comme Facebook, Google, Youtube et Twitter ont récemment créé une base de données commune pour retirer plus rapidement les vidéos et photos violentes et à «caractère terroriste».

 

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