L'ancien rappeur de NTM, en promotion pour la sortie de son livre «Pensées», n'a pas été tendre envers l'actuel entraîneur du Real Madrid Zinedine Zidane et le latéral du Paris Saint-Germain Serge Aurier.
Au sujet de ce dernier et son image plutôt «rebelle», il a eu ces mots : «un rebelle ? Il faut avoir quelque chose à dire pour ça. Je le soutiens en tant que joueur, mais ce qui lui arrive en dehors, c’est déplorable. Quand il insulte son coach (Laurent Blanc) sur Periscope, il n’a pas d’amis pour lui dire que ça ne va pas ? Surtout quand tu vas t’excuser platement après parce que ton club te l’a demandé. Non, il n’a rien d’un rebelle. » », s’est indigné Joey Starr dans un entretien donné à L’Equipe. Pour l'ancienne moitié de NTM le parfait footballeur-rebelle s’appelle Eric Cantona.
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«Au moins, il y avait un fond derrière ses éclats. Quand il l’ouvrait, c’était pour faire bouger une vieille institution complètement croulante. Il dénonçait une forme d’hypocrisie. Il n’allait pas s’excuser après, il ne faisait pas juste le pitre», a-t-il avancé. En bon homme de spectacle, Joey Starr a gardé le meilleur pour la fin, en se payant Zidane, par le biais d’une anecdote datant d’une dizaine d’années.
«J’étais allé voir Zinédine Zidane lorsqu’on avait monté une action pour inciter les jeunes des quartiers à s’inscrire sur les listes électorales en 2005. […] On voulait juste utiliser son nom, on était apolitique, mais il a refusé… Alors c’est bien beau d’aller faire des pubs pour Danone quand il y a du sponsoring derrière», a taclé celui qui est désormais acteur. A bon entendeur...