La cheffe du gouvernement britannique Theresa May sera ce vendredi la première dirigeante étrangère reçue à la Maison Blanche par Donald Trump.
Celui qui comparait sa propre élection au succès du Brexit devrait lancer à cette occasion des discussions en vue d’un accord de libre-échange entre les États-Unis et un Royaume-Uni bientôt hors de l’UE.
Le président américain a en effet affirmé sa volonté d’établir «rapidement» un traité commercial liant les deux pays. Une aubaine pour Theresa May, alors que Barack Obama avait estimé à l’époque du référendum britannique qu’un tel accord ne serait pas envisageable.
La question de l’Otan, dont Londres est un des piliers, sera également abordée. La Première ministre a promis au secrétaire général de l’Alliance atlantique, Jens Stoltenberg, de souligner l’importance de l’organisation auprès du président américain, qui l’avait qualifiée «d’obsolète», et envisage d’y réduire la participation de son pays.
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Le deuxième rendez-vous à l’agenda de Donald Trump était son homologue mexicain Enrique Pena Nieto, mardi. Mais celui-ci l’a annulé hier, le président américain ayant déclaré que si le Mexique refusait de financer le mur à la frontière, cette rencontre n’avait pas lieu d’être.